Consultations : Macron prévoit d’ouvrir un nouveau cycle de discussions mardi, faute de consensus

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« Nous sommes trompés par le jeu du chef de l’Etat », a déclaré Olivier Faure sur BFMTV, pour qui « l’idée est que la gauche gouverne ». « Le chaos s’installe à travers le Président de la République », a déclaré le Premier secrétaire d’État. Le Parti socialiste a également accusé.

« Ils savent très bien que la destitution (d’Emmanuel Macron) aura lieu », puisqu’il faut « la majorité » dans les deux chambres, reconnaît-il cependant, alors que les insoumis menacent d’engager une procédure de destitution du président de la République. République à l’occasion où cette dernière refuse de nommer Lucie Castets à Matignon.

S’exprimant depuis les universités d’été du Nouveau Front populaire, le leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon estime que la coalition a démontré « (son) unité » à Emmanuel Macron. « Quatre jeux, une utilisatrice qui parle : Lucie Castets », a-t-il souligné. après la victoire du président ce matin face aux représentants du NFP à l’Elysée. « Ils n’ont pas de Premier ministre, ni au centre ni à droite. Nous en avons un. Alors laissez-les fermer », dit-il aussi.

« Nous remercions Lucie Castets d’avoir accepté ce rôle » (de candidat NFP à Matignon), déclare également Jean-Luc Mélenchon. Lucie Castets « est une rebelle, souligne-t-il, mais elle le mérite ».

Le coordinateur de France Insoumise, Manuel Bompard, rappelle le risque que son groupe enregistre un mouvement de censure contre le président de la République et engage une procédure de destitution contre le président de la République, dans le cas où il refuserait de nommer Lucie Castets à Matignon. « Une telle résolution serait une violation du résultat des élections législatives », a-t-il déclaré sur X (anciennement Twitter), ajoutant que « dans une démocratie, il n’y a pas de droit de veto présidentiel opposé à la souveraineté du peuple ».

Le secrétaire général de la Renaissance, Stéphane Séjourné, a envoyé un message aux membres de son parti pour les informer de son échange avec Emmanuel Macron, qui l’a battu cet après-midi à l’Elysée avec des représentants du centre. Il affirme avoir affirmé au Président la volonté du parti de « travailler avec les partis de l’arc républicain », ainsi que sa « volonté de se présenter avec un Premier ministre membre des partis du bloc central » et sa « détermination à censurer tout gouvernement dans lequel LFI serait représentée ». « Après ces consultations, il appartiendra au Président de la République d’être informé de la viabilité des propositions gouvernementales qui lui ont été faites », ajoute Stéphane Séjourné dans ce message.

« Emmanuel Macron n’a pas à déterminer au sein du Nouveau Front populaire qui convient et qui ne l’est pas », a déclaré la députée écologiste Sandrine Rousseau sur BFMTV, depuis les universités d’été du NFP. au Parlement », a-t-il dit, ajoutant que « s’il y a un mouvement de censure, ce que je ne crois pas, tout le monde prendra ses responsabilités ».

Laurent Wauquiez vise à bloquer la France insoumise en votant en faveur d’un mouvement de censure opposé à un gouvernement qui aurait des ministres insoumis », comme il l’avait déjà déclaré à sa sortie de l’Elysée.

Interrogé sur BFMTV, Alexis Corbière estime que le Nouveau Front populaire pourrait simplement « trouver des chances de majorité (. . . ), grâce aux progrès sociaux qu’il nous faut mettre en oeuvre », au cas où la coalition de gauche déciderait de former un gouvernement. .

Ensuite, il y aura un rappel. Selon nos informations, Emmanuel Macron a indiqué aux dirigeants de l’ancienne majorité qu’il prendrait la parole lundi, selon plusieurs participants, pour informer les autres Français de ses consultations avec les dirigeants des organisations et des partis.

Mais, surtout, il a indiqué, selon les mêmes sources, que si à l’issue de cette série d’échanges il découvrait qu’une majorité des forces politiques n’a pas fini de censurer un gouvernement qui intègre des ministres de LFI, il ouvrirait mardi un nouveau cycle de discussions. « Mardi, nous ferons à nouveau un manège », en déduit un invité, puisque tous les dirigeants de l’ancienne majorité sont déjà convaincus que leurs troupes censureront un tel gouvernement. Et que LR, comme RN, ont également annoncé publiquement qu’ils feraient de même.

Les LR voteraient « immédiatement une motion de censure » contre un gouvernement comprenant des LFI, assure Wauquiez.

Soucieux de ne pas voir le long gouvernement renversé au bout de quelques jours, Emmanuel Macron, selon nos informations, a demandé à chacune des équipes parlementaires quelle position elles occuperaient par rapport aux autres gouvernements. J’ai indiqué que notre organisation est très manifestement favorable à l’adoption d’un mouvement de censure rapide dans le cas d’un gouvernement avec des ministres LFI », a déclaré Gabriel Attal aux députés de son organisation à l’Assemblée. Et le Premier ministre sortant de conclure : « Mon sentiment est que si une proposition de gouvernement surgit qui peut générer un mouvement précoce de censure, le président de la République, garant de la stabilité institutionnelle du pays, la maintiendra. »

« J’ai défendu la nomination d’un nouveau Premier ministre qui ne serait pas issu des partis du bloc central, avec un gouvernement qui représente un large spectre de sensibilités de la gauche républicaine à la droite, qui ferait probablement un progrès dans l’intérêt du les Français imaginables », a également confié Gabriel Attal à ses adjoints, indiquant avoir discuté avec le président « de projets qui pourront faire l’objet d’un large consensus : la protection des enfants, la lutte contre les violences sexistes et sexuelles, la vieillesse, les nouveaux. libertés accordées aux collectivités territoriales. . . ».  

« Nous sommes en mesure de former un gouvernement qui ne soit pas seulement une émanation de notre parti ou de notre bloc », a également déclaré le Premier ministre démissionnaire. « Mais nous le ferons avec rigueur, sans compromis avec nos valeurs. »

La volonté d’Emmanuel Macron « est de parvenir à une solution institutionnellement solide, qui évite une nouvelle dissolution et permette au pays d’avancer dans l’intérêt du peuple Français », a confié vendredi Gabriel Attal, dans un message aux députés de son organisation. à l’Assemblée, que nous sommes allés consulter.  

« Est-ce un désaveu total ? Pas vraiment, puisque nous sommes la deuxième coalition», a déclaré Emmanuel Macron à ses alliés à l’Elysée en début d’après-midi, évoquant les effets des dernières élections législatives.   Rappelons qu’Ensemble avait obtenu 168 sièges le 7 juillet, contre 182 pour le Nouveau Front populaire.  

Il faudra « construire une solution institutionnellement solide, qui corresponde à ce vote », a également indiqué Emmanuel Macron à ses alliés. Ces derniers doivent « mener une politique d’aide au pays avec des éléments de continuité et avec un message de sécurité ».   Par ailleurs, le président a confié aux dirigeants de l’ancienne majorité que le NFP souhaitait que toutes les forces politiques de cette alliance de gauche soient représentées dans le nouveau gouvernement.  

Laurent Wauquiez, Bruno Retailleau et Annie Gennevard sont arrivés à l’Elysée peu avant 15h30 pour rencontrer Emmanuel Macron. Contrairement au camp présidentiel, un représentant des Républicains s’adresse à la presse à l’issue de la réunion.  

« Il a dit qu’il ferait son choix mardi et mercredi, dans les 48 heures », a déclaré au Parisien France Stéphane Peu, député PCF de Saint-Denis. « Il a dit que ce serait la semaine prochaine et que, dans le pire des cas, ils mordent les Jeux paralympiques pendant 24 à 48 heures », a déclaré un cadre de l’Insoumise à notre journal après avoir échangé avec les participants à l’assemblée au palais de l’Elysée.

Le Premier ministre démissionnaire a quitté l’Elysée en s’adressant à la presse, comme Édouard Philippe quelques minutes auparavant.  

Le président du parti Horizons et ancien premier ministre Édouard Philippe a quitté son entretien avec Emmanuel Macron à l’Elysée, mais s’est adressé aux journalistes présents.

Une fois l’entretien avec les représentants du camp présidentiel terminé, Emmanuel Macron devra obtenir ceux des Républicains, a ajouté le chef de file de l’organisation à l’Assemblée nationale, Laurent Wauquiez. Elle sera suivie par celles de l’organisation Liot puis celles du Parti de la gauche radicale. Le RN et ses alliés l’emporteront lundi.

Pour la chef de file des députés verts, Cyrielle Chatelain, « il y a eu des signaux positifs » dans l’échange entre les représentants de gauche et Emmanuel Macron ce matin. S’adressant à franceinfo, comme d’autres membres du NFP, il a déclaré que le chef de l’Etat « a reconnu que les Français avaient voté en faveur d’un changement de politique ».

Le leader de La France Insoumise (LFI), Jean-Luc Mélenchon, sera l’invité de l’émission TF1 à 13h00. ce samedi, a annoncé la chaîne.

Lors de sa rencontre avec des représentants de la gauche, Emmanuel Macron n’a exclu « en aucune manière » que Lucie Castets devienne Premier ministre, selon le chef des députés PS, Boris Vallaud. « Nous avons plaidé en faveur de cette nomination, mais aussi de cette nomination. »« Nous cherchons une façon de faire le travail quotidien qui soit aussi complètement différente de ce que nous connaissons ici », a-t-il déclaré à RTL.  

Après sa victoire à l’Elysée, Lucie Castets, candidate du NFP à Matignon, est convaincue que les débats ont été « très riches ». Les dirigeants du parti, pour leur part, ont regretté que le chef de l’Etat soit tenté de rechercher une majorité sélective de gauche. Voici ce que vous pouvez obtenir des échanges NFP-Macron.

Le chef des députés du PS, Boris Vallaud, assure avoir eu des « échanges » « très respectueux » et « francs » avec Emmanuel Macron. « Nous sommes venus ici avec une solution institutionnelle, en disant que nous étions le premier bloc politique », a-t-il déclaré à RTL. « Le président demande la stabilité, nous la demandons et nous la construisons aussi.   »

Selon la secrétaire nationale des Verts, Marine Tondelier, contactée par Le Parisien, l’échange direct entre les représentants du Nouveau Front populaire (NFP), Lucie Castets et Emmanuel Macron, a duré « environ une heure ».

François Bayrou, Marc Fesneau (MoDem), Édouard Philippe, Laurent Marcangeli (Horizons), Gabriel Attal et Stéphane Séjourné (Renaissance) viennent d’arriver à l’Elysée pour rencontrer Emmanuel Macron. Ils ont dit non à la presse.

Contrairement aux représentants du PFN, ils sont arrivés petit à petit.  

Selon le socialiste Olivier Faure, Emmanuel Macron « a reconnu que toutes les forces politiques » qui ont « participé au front républicain » opposées à la droite aux élections législatives « étaient parfaitement valables pour gouverner ».  

Une formule qui ajoute du précepte à La France Insoumise, alors que sa participation à un gouvernement semblait une ligne rouge pour le côté présidentiel, sous les menaces d’une censure immédiate.

Selon Manuel Bompard, coordinateur de La France Insoumise, Emmanuel Macron « a rappelé par la même occasion qu’il devra être l’arbitre dans son rôle constitutionnel ». « Mais nous avons l’impression qu’il avait besoin d’être l’entraîneur, c’est-à-dire celui qui allait façonner le gouvernement à long terme du pays », a-t-il déploré.

Le secrétaire national du PCF, Fabien Roussel, a réitéré qu’il cherchait à « incarner le changement ». « Nous avons beaucoup insisté » auprès d’Emmanuel Macron pour mettre en œuvre une « politique de rupture », a-t-il déclaré.

Selon Marine Tondelier (écologistes), qui s’est déclarée « confiante » et « positive », Emmanuel Macron a déclaré aux représentants du PFN qu’il fallait « un remplacement naturel » à la tête du pays. Pour elle, c’est un « signe favorable ».  

L’écologiste a exigé « une réaction mardi » au nouveau Premier ministre, appelant à la fin de « ce feuilleton institutionnel ». Il a demandé une réaction jusqu’à « mardi ». Contactée par la suite par Le Parisien, elle est convaincue que « la préférence affichée d’Emmanuel Macron est de nommer temporairement un Premier ministre, avant les Jeux paralympiques (qui s’ouvrent ce mercredi) ».

Olivier Faure est convaincu qu’Emmanuel Macron a donné une « date précise » pour la nomination d’un gouvernement, mais que « ce serait rapide ». « Le président a identifié que la stabilité signifie la continuité avec la politique existante. »

Il est confiant qu’« il n’y aura pas de département au sein de l’OSBL ». « C’est à la coalition qui a le plus de sens de former un gouvernement et de trouver des compromis », a-t-il ajouté.  

Après avoir été battue par Emmanuel Macron, Lucie Castets affirme que les débats ont été « très riches ». Elle s’est dite « prête » à « construire des coalitions aujourd’hui ». Selon elle, Emmanuel Macron a été « lucide », mais conserve une « tentation de composer son gouvernement ». « Nous lui avons dit que c’était à la force politique qui était au sommet, le Nouveau Front populaire, de former un gouvernement. »

Ils ont été gagnés à l’Elysée grâce au chef de l’Etat.

Sur le plateau de BFMTV, le député de Moselle et porte-parole du Rassemblement national (RN), Laurent Jacobelli, dit qu’il censurera tout gouvernement dans lequel apparaîtraient des ministres rebelles ou écologistes. Ceux qui maltraitent la démocratie n’ont aucune position à Matignon ni dans aucun autre ministère », a-t-il déclaré.  

En début de vendredi, le député RN de l’Yonne Julien Odoul a déclaré que le RN censurerait tout gouvernement « dans lequel figurent des membres d’extrême gauche », en donnant plus de précisions.

À l’instar de Fabien Roussel, Manuel Bompard et Lucie Castets, Olivier Faure, premier secrétaire du PS, publie (ou plutôt son équipe de communication) un instantané de son arrivée à l’Elysée. « Nous avons un candidat. Nous avons un programme. Nous sommes en mesure de gouverner. »

Interrogée sur une éventuelle censure du futur Premier ministre si ce n’était pas Lucie Castets, l’eurodéputée LFI Manon Aubry est convaincue que cela se ferait automatiquement. « Lucie Castets est la représentante d’une mission politique pour laquelle nous avons été élus », a-t-il expliqué au micro d’Europa 1. « Si le président nomme un Premier ministre qui ne reflète pas l’équilibre politique de l’Assemblée nationale, pensez-vous vraiment que nous allons rester les bras croisés ?  »

Comme Fabien Roussel ou Manuel Bompard, Lucie Castets publie une photo de son arrivée à l’Elysée avec des représentants du Nouveau Front populaire (NFP). « Nous sommes prêts », a-t-il écrit.

Actuellement remporté par Emmanuel Macron à l’Elysée, le coordinateur de la France Insoumise Manuel Bompard – ou son entourage – a publié sur X (ex-Twitter) une photo sur laquelle apparaissent tous les représentants du Nouveau Front populaire (NFP) accumulés avant d’aller aux élections présidentielles. Ils sont accompagnés de leur candidate à Matignon, Lucie Castets. « Pour forcer Macron à respecter le vote du peuple Français », a-t-il écrit.

A peine arrivé à l’Elysée pour se faire battre par le chef de l’Etat, le secrétaire national du PCF, Fabien Roussel, demande « à Emmanuel Macron [de] respecter le scrutin des urnes ». « C’est nous qui proposons un Premier ministre : Lucie Castets et un programme pour la France qui répond aux attentes de changement des Français », a-t-il insisté sur son compte X (ex-Twitter).

Lors d’une intervention au micro dans la cour de l’Elysée, Lucie Castets a déclaré que les représentants du PFN « venaient rappeler au président l’importance de respecter le résultat des élections ». « Nous sommes venus pour sortir le pays de la paralysie dans laquelle il est embourbé. Lucie Castets va « proposer une solution de stabilité » en se disant « disposée » au compromis.  

Lucie Castets et des représentants du Nouveau Front populaire se rendent à l’Elysée pour les consultations demandées par Emmanuel Macron. Sont présents le coordinateur de la LFI Manuel Bompard, le premier secrétaire du PS Olivier Faure, le secrétaire national des Écologistes marins Tondelier et le secrétaire national du PCF Fabien Roussel.

Maud Bregeon, députée des Hauts-de-Seine et porte-parole de Renaissance, présente ces consultations comme « un merveilleux moment de clarification ». « Nous n’avons pas perdu les élections, il faut être lucide. Mais personne n’a gagné ni ne dispose de la majorité absolue. Cela nécessitera un débat et ce n’est pas dans notre culture politique », a-t-il déclaré sur BFMTV.

Pour le député NFP de l’organisation environnementale et sociale Benjamín Lucas, le NFP devra « gouverner » et « le Parlement devra vivre sa vie en tant que Parlement ». « Ce sera compliqué mais la démocratie peut en sortir plus forte », a-t-il écrit sur son compte X (ex-Twitter), demandant à Emmanuel Macron d’éviter « de chercher à imposer une coalition des contraires ».

Avec ces consultations introduites ce vendredi matin, Emmanuel Macron veut retrouver la « majorité la plus large et la plus solide » possible, a rappelé jeudi l’Elysée. Son objectif est de « savoir dans quelles situations les forces politiques peuvent atteindre cet objectif ». « La résolution de nomination du Premier ministre tiendra compte de ces deux critères », a expliqué la Présidence de la République.

Selon l’AFP, Lucie Castets se rendra vendredi à l’université d’été des communistes à Montpellier (Hérault) après sa victoire à l’Elysée ce matin. Il passera ce samedi près de Valence (Drôme) à Insoumis.

Le risque est à nouveau brandi. Si Emmanuel Macron nomme un gouvernement qui comprend des membres de l’extrême gauche, un mouvement de censure se présentera sans délai pour renverser ce gouvernement car nous le considérons comme dangereux », prévient Julien Odoul. « Nous le dis-le, nous le dis-le, et je le ferai. »

Invité sur RMC, le député de l’Yonne et porte-parole du Rassemblement national, Julien Odoul, estime qu’il n’est pas imaginable de gouverner le pays « sans le Rassemblement national » et sans ces « 11 millions de Français » qui ont voté pour le RN et qui « ne sont pas des citoyens de seconde zone.  

Alors que la cheffe des députés RN, Marine Le Pen, et le chef du parti, Jordan Bardella, seront battus lundi par Emmanuel Macron, Julien Odoul assure que « la démocratie doit être respectée ». « Pendant que des millions de Français attendent un changement de politique, nous faisons comme si de rien n’était. Tout cela est choquant.   »

« Je dis bonne chance aux députés qui doivent censurer un tel gouvernement », rappelant que « l’une des premières mesures à prendre sera l’abrogation de la réforme des retraites ». « Cette loi peut être approuvée par une majorité des députés à l’Assemblée nationale, avec les voix de tous les députés », explique-t-il.

« Les Français vont faire en sorte que les considérations qu’ils ont exprimées lors des dernières élections législatives soient entendues », conclut le coordinateur de La France Insoumise.  

« Si le président de la République s’obstine à s’entêter dans cette approche autocratique, nous devrons réagir et laisser faire. C’est un avertissement », s’est exclamé le coordinateur national de LFI.

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