Sans avoir la force d’offrir son propre vaccin COVID-19 pour le moment, le laboratoire Français Sanofi embouteillera celui de son concours Pfizer et BioNTech et fabriquera plus de cent millions de doses cette année pour l’Union européenne.
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L’annonce de cet assaisonnement a été faite mardi par l’intermédiaire du PDG de Sanofi Paul Hudson après que le gouvernement Français lui a demandé à plusieurs reprises, récemment, de fabriquer ses lignes de production pour être à la disposition de ses concurrents.
Dans une interview postée sur la page en ligne du Figaro, M. M. Hudson a indiqué que Sanofi utilisera son usine allemande de Francfort pour emballer le vaccin, qui sera livré par le biais de sa compétition à partir de juillet.
« Ce site de production est proche du siège de BioNTech (à Mayence, NDLR), ce qui facilitera les choses », fait valoir le patron du groupe Français.
La production se déplacera vers l’Union européenne, et en partie vers la France, a-t-il ajouté.
Cet accord intervient à un moment où plusieurs laboratoires souffrent de suivre les tarifs maximaux pour se conformer aux contrats qu’ils ont signés.
L’organisation américaine Pfizer et la biotech allemande BioNTech avaient d’abord prévenu à la mi-janvier qu’elles ne seraient pas en mesure de respecter le calendrier établi pour la première fois avec l’UE, avant de dire qu’elles pourraient limiter les retards de livraison à une semaine.
La semaine dernière, c’était au tour de la Britannique AstraZeneca, dont le vaccin souhaite toujours être approuvé dans l’Union européenne, de laisser entendre que ses accouchements seraient moins élevés que prévu au premier trimestre, provoquant la colère de Bruxelles.
Mardi, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a fait pression sur les marques pour qu’elles disent qu’elles devront « remplir leurs obligations ».
« L’Europe a investi des milliards pour étendre les premiers vaccins et créer un véritable bien mondial non inhabituel. Maintenant, les entreprises devront tenir leurs promesses », a-t-il déclaré dans une vidéo au Forum économique mondial de Davos.
Bruxelles a annoncé début janvier un nouvel accord avec le duo Pfizer-BioNTech, proposant une commande anticipée de la société pour deux cents millions de doses supplémentaires de son vaccin Covid, avec une option de cent millions supplémentaires. le contrat déjà conclu par 300 millions de doses du vaccin, autorisé depuis le 21 décembre par la Commission européenne.
En ce qui concerne ses propres projets de vaccins, Paul Hudson affirme que la protéine recombinante, une génération que Sanofi utilise pour son vaccin contre la grippe, « progresse bien », malgré quelques mois de retard et devrait arriver sur le marché au dernier trimestre. Selon lui, une telle fenêtre de lancement est logique parce qu’il y aura encore d’autres personnes à vacciner dans le monde à l’époque.
D’autre part, alors que plusieurs variantes du virus coupable de COVID-19 sont connues et que des doutes subsistent quant à l’efficacité des vaccins déjà sur le marché contre eux, elle estime que cette génération « pourrait être plus efficace contre ces mutations ». que l’ARN messager.
Le Français est toujours en train de développer un vaccin basé sur les dernières technologies, utilisées spécifiquement par Pfizer et BioNTech, en partenariat avec une biotechnologie américaine. « Nous sommes impatients d’entrer dans la phase clinique avec un vaccin anti ARN opposé au COVID dès le premier trimestre de cette année », a déclaré M. Hudson.
Traditionnellement, la création d’un nouveau vaccin prend en moyenne dix ans, selon les experts de l’industrie. Si Sanofi le faisait pour covid-19 dans les deux ans, il serait exceptionnellement court, mais le laboratoire souffre de la comparaison avec son plus rapide. Concurrents.
Le heist a alimenté les questions sur l’état de la recherche Français, qui Français été répétée depuis que l’Institut Pasteur a annoncé lundi qu’il allait hatopping la progression de son importante allocation de vaccins Covid-19 en collaboration avec la société pharmaceutique MSD, l’appel du géant américain. Merck à l’extérieur aux États-Unis et au Canada.