Afrique : le Kenya n’est plus le pétrole saoudien et émirati

Le Kenya a franchi le Rubicon en finalisant l’accord pétrolier qui le lie à l’Arabie saoudite et aux Émirats arabes unis (EAU).

Selon yop. l-frii. com, « les raisons de cette résolution adoptée par le gouvernement kenyan sont liées à des troubles liés à la distorsion du taux de change. Avec la préférence du pays pour l’atténuation des dangers monétaires qui pèsent sur les acteurs personnels du secteur pétrolier.

Citant des dangers accrus pour les financiers du secteur privé, le Trésor national du Kenya a réaffirmé « son engagement en faveur des réponses du marché privé dans le secteur de l’énergie ».

Et dans une mesure rare dans de telles circonstances, cela aurait été applaudi par le Fonds monétaire international (FMI). Il a souligné les distorsions sur le marché des changes et la menace accrue de refinancement pour le financement du secteur privé.

« Au cours des six premiers mois de l’accord, les volumes d’importation mensuels n’ont pas atteint les niveaux convenus, principalement en raison de la baisse de la demande sur le marché intérieur et régional », explique le gouvernement kenyan. De ce fait, « initialement conçu pour sécuriser l’approvisionnement en carburant et atténuer la pression sur les devises, l’accord a donc été résilié ».

Comment les deux monarchies du Golfe vont-elles réagir ?

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