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Le président a signé un décret reconnaissant les modes de vie des « deux sexes » attribués à la naissance.
Donald Trump a révoqué cette semaine les dispositifs de sécurité de l’ancien senior.
L’événement se serait produit lors d’un tournoi de basket-ball entre plusieurs écoles primaires.
Certains craignent que les États-Unis ne soient plus capables de faire face à la discrimination ou à la violence.
La société de sécurité Brink cherche à obtenir plus de 22 millions de dollars.
Kiev a de son côté rejeté toute discussion sur l’Ukraine sans l’Ukraine.
Moscou, Kiev et leurs alliés attendent de voir quelle position adoptera l’imprévisible locataire de la Maison-Blanche sur le conflit ukrainien, qui a maintes fois clamé sa volonté d’y mettre fin sans jamais expliciter ses intentions.
L’échange verbal entre Donald Trump et Vladimir Poutine est considéré comme un pas en avant, qui a été discuté depuis longtemps mais n’a pas encore conclu. Pendant une semaine, le Kremlin et la Maison Blanche disent qu’ils ont besoin de ce dialogue.
Le président américain l’a déclaré en mesure de pouvoir peindre ensemble, a déclaré vendredi Vladimir Poutine, satisfait, dans une interview à la télévision d’État.
Nous avons dit, et je dois le souligner à nouveau, que nous sommes en position de ces négociations sur les questions ukrainiennes », a-t-il ajouté.
Plus tôt, le porte-parole de la présidence russe Dmitri Peskov avait affirmé attendre des signaux de Washington sur le sujet.
Poutine est prêt. Nous sommes en faveur des signaux. Tout le monde est prêt.
Il est difficile de lire dans les cafetières ici, a déclaré M. Peskov, renvoyant la balle à la Maison Blanche.
Cela n’a donné aucune indication sur le calendrier ou la nature des signaux attendus, tandis que le président Trump a déclaré aux journalistes du bureau ovale qu’il pouvait rencontrer Vladimir Poutine.
Je pense, d’après ce que j’entends, que Poutine veut me rencontrer, on se rencontrera dès que possible. Je le rencontrerais immédiatement.
Chaque jour, nous sommes, des soldats d’infanterie sont tués sur le champ de bataille, a déclaré Donald Trump, dénonçant une guerre ridicule.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky est en mesure de négocier un accord, mais ils aimeraient l’arrêter, a-t-il ajouté.
Les positions de Trump sont difficiles à cerner. Son pays est le premier soutien de l’armée ukrainienne et a critiqué à plusieurs reprises cette aide, mais il a également récemment menacé Moscou de sanctions supplémentaires en cas d’échec à parvenir à un accord avec Kiev.
Vladimir Poutine a, lui, assuré que la crise en Ukraine de 2022, année du début du conflit, aurait pu être évitée si Donald Trump avait été président, si on ne lui avait pas volé la victoire en 2020.
Ainsi a repris les déclarations non fondées du président des États-Unis au sujet d’une prétendue fraude électorale en 2020.
À Kiev, le chef de l’administration présidentielle ukrainienne, Andriy Yermak, a dénoncé que le président russe devait négocier le sort de l’Europe et parler de l’Ukraine.
L’Ukraine craint également d’être emmenée à la table de négociation dans une position défavorable, souffre à l’avant et d’être forcée de produire leurs territoires occupés à travers la Russie.
Volodymyr Zelensky, longtemps hostile à toute négociation avec Moscou, a récemment évoqué cette option à plusieurs reprises. Mais il est d’accord avec les promesses de sécurité des Occidentaux.
Le Kremlin, pour sa part, ne voit pas forcément comme facile l’idée que l’Ukraine démissionne de l’OTAN et que la Russie conserve les territoires ukrainiens dont elle a revendiqué l’annexion. Des situations inacceptables pour Kiev.
Jeudi, lors d’un discours au Forum économique mondial de Davos, Donald Trump avait évoqué la possibilité d’atteindre la Russie au portefeuille en baissant les prix du pétrole.
Si ces niveaux étaient inférieurs, la guerre en Ukraine prendrait fin immédiatement, a-t-il déclaré.
Dmitri Peskov a répondu vendredi que l’affrontement en Ukraine a des prix du pétrole, mais cela résulte d’un risque pour la sécurité nationale russe.
Le Kremlin, qui a agité plusieurs fois la menace nucléaire depuis le début du conflit en Ukraine, a par ailleurs exhorté vendredi les États-Unis à engager des négociations de désarmement nucléaire au plus vite.
Vladimir Poutine, félicitant le caractère pragmatique et intelligent de Donald Trump, a estimé que ce dernier prendrait une telle résolution qu’il endommageait également l’économie américaine.
Le retour de Donald Trump à la Maison Blanche intervient à un moment où le mérite revient à la Russie.
Le ministère russe de la Défense, qui informe presque tous les jours des progrès de ses troupes, a annoncé vendredi la prise de Tymofïvka, une petite ville de la région de Donetsk, à l’est du pays.
Des centaines de kilomètres du combat, les mouvements russes ont fait 3 autres morts dans la région de Kiev, selon une nouvelle évaluation annoncée vendredi par le biais des autorités ukrainiennes.
De son côté, le ministère russe de la Défense a affirmé vendredi avoir abattu dans la nuit 120 drones ukrainiens dans 12 de ses régions, ajoutant, à Moscou, l’une des plus importantes attaques de ce type perpétrées contre son territoire depuis le début du conflit.
L’armée ukrainienne a attribué la responsabilité d’une attaque avec des avions sans pilote contre une raffinerie dans la région de Riazán, au sud de Moscou, ainsi que contre une usine de microcomposants utilisée pour la production d’armes dans la région de Bryansk, au sud-ouest de Moscou. Capitale russe.