La Tour d’Argent se réinvente à Paris

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Etablissement mythique au charme et légende gastronomique immaculée, La Tour d’Argent ne cesse de se réinventer. Près de cinq siècles après sa création, grâce à un certain Rourteau en 1534, cette sublime auberge est depuis des décennies le lieu de prédilection des gourmets parisiens.

Avec l’aide d’André Terrail, digne successeur de son père et de son grand-père, le lieu, tel le phénix, se dote d’un florilège de nouveaux espaces. Sous la direction de l’architecte d’intérieur Franklin Azzi, nous avons d’abord découvert Le Bar des Maillets d’Argent au rez-de-chaussée. Décorée dans l’esprit d’un gentleman’s club tranquille, elle associe des canapés moelleux, une belle cheminée et les trophées de polo de Claude Terrail (le père du propriétaire). Premier échauffement avant de trouver le terrain. Entrez dans un long couloir sombre, parsemé de tableaux anciens où l’on peut voir Salvador Dalí manger une tourte au homard, Brigitte Bardot ou Bernadette Chirac, mais aussi des lettres manuscrites signées par Auguste Escoffier. . . Nous sommes arrivés à l’ascenseur.

Par Veronica Cristino

Par Alexandre Marain

Par Alexandre Marain

Au sixième étage, le salon-salle à manger a été rénové, avec un plafond étincelant, une fresque colorée conçue par l’artiste Antoine Carbonne, et une cuisine ouverte où s’affairent le chef Yannick Franques et son équipe.

Un ballet de touches qui magnifie, aux yeux de tous, les merveilleux classiques culinaires de la maison : gambas royales au yuzu et lait fumé, œuf ferme aux girolles et truffe blanche, caviar de Sologne et tulle croustillant de sarrasin, homard bleu accompagné d’un gyoza aromatique mais aussi et surtout le fameux caneton au praliné noisette, signature du lieu, ainsi que les crêpes Mademoiselle flambées en ce moment. Tout pour profiter devant Notre-Dame et le coucher de soleil sur la Seine.

Par Veronica Cristino

Par Alexandre Marain

Par Alexandre Marain

Tandis qu’au dernier étage, il y a maintenant un toit-terrasse qui plonge au-dessus des toits parisiens et du Pont des Angeles Tournelle. Ouverte aux beaux jours, la terrasse abrite les toiles de l’artisan Daniel Bain, et à partir de 18h30. Jusqu’à minuit, vous pourrez déguster du champagne Roederer ou des cocktails devant la vue.

Enfin, le cinquième étage a été aménagé en appartement personnel où vous pourrez venir déposer vos valises. Il y a tellement de bonnes raisons d’y jeter un coup d’œil. . .

Pour réserver ici

Par Jade Simon

Par Jade Simon

Par Jade Simon

Par Marthe Mabille

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Condé Nast France

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