L’exécutif s’est donné le temps d’une image miroir supplémentaire avant, selon toute vraisemblance, de serrer la vis de l’épidémie covid-19, mais a déclaré mercredi après le Conseil de défense que le couvre-feu à 18h00 « ne ralentit pas suffisamment » la propagation du virus. .
Le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal a déclaré que « différents scénarios » étaient en cours d’organisation, allant du « maintien du cadre existant », qu’il « peu probable », à « un confinement très strict ».
Ces deux terminaux mentionnent l’option d’un couvre-feu ajouté à un verrouillage uniquement le week-end ou la prolongation des vacances de février avec l’interdiction interrégionale, selon une source gouvernementale.
Le président Emmanuel Macron a appelé à une « analyse supplémentaire » de ces autres scénarios avant de prendre des décisions, a-t-il dit. Au procès-verbal du Conseil des ministres. Ceux-ci viennent avec les effets d’un examen sur la prévalence de la variante anglaise, et sur les principaux points des effets du couvre-feu à 18:00 en vigueur au niveau national pendant 10 jours.
Pour préparer la parole avant une décision, Jean Castex tiendra une série de consultations jeudi et vendredi : les présidents d’équipe du Sénat, l’Assemblée nationale, les représentants des associations d’élus et les partenaires sociaux seront entendus par vidéo. Conférences.
L’exécutif, qui pourrait avoir un nouveau Conseil de défense de la santé ce week-end, cherche un « point d’équilibre » avec la volonté de « protéger la Français » sans « mettre le pays sous la cloche », a expliqué le chef des députés LREM. Christophe Castaner, notant au passage que « les élèves devraient pouvoir aller à l’école ».
Le nombre de patients hospitalisés a continué jusqu’à mercredi, à 27. 169, ajoutant 3. 107 en réanimation, selon le site web du gouvernement. Et 351 autres décès ont été signalés à l’hôpital, portant le nombre total de décès causés par l’épidémie à 74 456 en France, selon la santé publique française. C’est particulièrement moins qu’au Royaume-Uni, avec sa population comparable, qui a été mardi le premier pays européen à passer la barre des 100 000 morts dans le Covid.
– « Exceptions » –
Mais la variante anglaise la plus contagieuse progresse avec des estimations de 10% des cas en France à 3,2% le 8 janvier, selon Gabriel Attal.
Dans une tentative de restreindre sa distribution, de nouvelles restrictions à l’étranger sont sur la table, Attal a montré, tandis que l’Allemagne prévoit, comme Israël, de « presque zéro » trafic aérien étranger vers son territoire.
Parmi les pistes qui sont discutées dans le point européen selon M. Attal, «des sanctions contre les compagnies aériennes qui opèrent avec des pays de plein air de l’Union européenne et ne respectent pas les réglementations qui ont été fixées», comme la responsabilité légale de présenter un négatif. Test PCR.
Quant aux étudiants, le Premier ministre a interrogé avec beaucoup de prudence un appel au youtubeur Gaspard Guermonprez sur la possibilité de les « prendre à des exceptions » en cas de redéfinition pour satisfaire la promesse d’Emmanuel Macron de retourner au collège un jour par semaine.
Les spéculations sur un nouveau confinement se sont développées en quelques jours avec des déclarations alarmantes d’experts, comme le professeur Jean-Fran’ois Delfraissy, président du conseil clinique.
Le professeur Gilles Pialoux, chef de la direction des maladies infectieuses de l’hôpital Tenon à Paris, a déclaré mercredi que les perspectives « inévitables » en tant que cadre « sont déjà pires que celles des deux premiers accouchements ».
– Perte de –
Alors que des émeutes ont éclaté aux Pays-Bas depuis l’entrée en vigueur samedi d’un couvre-feu « simple », l’exécutif devra également menacer de rejeter les nouvelles restrictions.
C’est « une source d’inquiétude », estime Christophe Castaner, tandis que la vice-présidente LR de l’Assemblée nationale Annie Genevard appelle à l’accept d’une politique « cohérente ».
Selon un vote Elabe pour BFMTV publié mercredi, 93% des Français disent qu’ils respecteraient un nouvel enfermement, que ce soit dans le style du premier ou du second.
Pour Marine Le Pen, présidente du Rassemblement national, la Français, qui « a fait beaucoup de sacrifices », est « très respectueuse des ordres qui leur ont été donnés » et « continuera à l’être ». Mais pas si eso. no ce qu’il est ou combien de temps il va durer.
Sur le plan économique, Bercy estime qu’un troisième confinement pourrait résulter d’une perte d’activité de 10% à 18%, selon le degré de restrictions appliquées.
Et pour l’Insee, le moral des familles a chuté de façon spectaculaire en janvier après avoir rebondi en décembre.
Sur le front de la vaccination, Sanofi a annoncé mardi que Pfizer et BioNTech produiraient leur vaccin et emballeraient plus de cent millions de doses pour l’Union européenne jusqu’à fin 2021.
Mais AstraZeneca livrera 4,6 millions de doses de son vaccin à la France jusqu’à fin mars, soit une partie moins que prévu, selon le ministère de la Santé.
Au total, environ 1,2 million d’injections ont été effectuées, additionnant la dose pour le moment, depuis le début de la croisade introduite fin décembre.
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