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Son arrive après plus de deux mois de captivité.
Il lui reproche d’avoir refoulé des avions militaires transportant des migrants expulsés par les États-Unis.
Le déplacement des Gazaouis pourrait être simplement « temporaire ou à long terme », a déclaré Donald Trump.
Selon le parti, sa candidature rejetée en vertu des règles de la croisade nationale des dirigeants.
Le Canada pourrait atteindre 2 % du PIB en dépenses militaires avant 2032.
Après neuf ans, Justin Trudeau a absolument perdu le contrôle et s’accroche désespérément au pouvoir, a écrit le Parti conservateur dans un communiqué publié le 27 décembre.
Voir notre politique de démission de Justin Trudeau
La Commission des comptes publics se réunira donc à partir du 7 janvier pour prendre connaissance de ce énième mouvement de censure contre le gouvernement.
Si le mouvement est adopté, le rapport du comité sera présenté au Parlement le 27 janvier, le premier jour qui reprendra après la récréation de six semaines de vacances. Vous devrez voter à la Chambre des Communes jusqu’à jeudi qui le jeudi 30 janvier.
Compte tenu du mandat de surveillance de la Commission des comptes publics, il est approprié que ses membres entament de telles délibérations de défiance pendant que le Parlement s’ajourne jusqu’à la fin janvier, peut-on lire dans une lettre du président de la Commission des comptes publics, John Williamson, publiée dans X.
Si le mouvement de méfiance est approuvé, le gouvernement minoritaire libéral perdrait la confiance du Parlement, avec la dissolution de la chambre et la célébration des élections.
Les événements survenus à Ottawa la semaine dernière pourraient précipiter les choses, alors que la démission soudaine de la ministre des Finances Chrystia Freeland a porté un coup dur au contrôle de M. Trudeau sur son parti. Le Premier ministre fait face à des tensions internes et externes pour démissionner.
Le chef du NPD, Jagmeet Singh, a promis de défaire le gouvernement libéral lors d’un vote de confiance au début du Parlement.
Peu importe qui dirige le Parti libéral, ce gouvernement n’a plus de temps. Nous présenterons un mouvement de censure transparent lors de la prochaine session de la Chambre des communes. [. . . ] J’ai demandé à Justin Trudeau de démissionner, et il l’a fait, a-t-il écrit le 20 décembre dans X.
Le chef du NPD avait d’ailleurs annoncé le 4 septembre avoir « déchiré » son accord de coalition avec le gouvernement libéral même s’il avait ensuite voté pour l’accepter comme vrai avec Justin Trudeau de façon continue lors des consultations d’automne.
Contacté par Radio-Canada pour commenter la démarche des conservateurs, le directeur de l’Institut d’études canadiennes de McGill, Daniel Béland, estime qu’il s’agit d’un coup de théâtre politique.
Selon lui, il ne s’assure pas que les autres partis d’opposition votent en faveur de cette motion. Personne ne sait pour quoi les chefs des partis d’opposition voteront, peu importe ce qu’ils ont dit dans le passé, a déclaré M. Béland. Si le gouvernement de Justin Trudeau prend la décision d’offrir la lune au bloc québécois ou au NPD, rien ne signifie que ses dirigeants voteront contre le gouvernement libéral, pense-t-il.
Plusieurs scénarios sont donc sur la table. Il reste beaucoup d’incertitudes, note M. Béland. Justin Trudeau pourrait démissionner, son parti pourrait aussi décider de proroger le gouvernement. Si tel est le cas, les députés ne recommenceront pas à siéger au Parlement en janvier.
Les chances que les libéraux perdent les prochaines élections sont élevées, dit encore M. Béland, d’autant plus, ajoute-t-il, qu’on ne sait pas quand le prochain scrutin aura lieu.
Les conservateurs, fermement en tête dans les sondages, réclament des élections depuis des mois. Le Bloc québécois appelle lui aussi à des élections.
Les libéraux ont survécu à un troisième vote, le 9 décembre, dans le cadre d’une manœuvre conservatrice visant à renverser leur gouvernement minoritaire.
Gerald Butts, ancien conseiller et ami proche de Trudeau, a déclaré qu’il était « peu probable » que le premier ministre reste à la tête du Parti libéral, surtout après le départ de Freeland. Dans un bulletin publié vendredi, il a déclaré que les prochaines élections auraient probablement lieu plus tôt qu’à la fin de l’année prochaine et qu’elles auraient encore plus de chances d’aboutir à un gouvernement conservateur majoritaire.
M. Butts a soutenu que, si M. Trudeau démissionnait, le parti devrait organiser une course à la direction plutôt que de désigner Mme Freeland ou quelqu’un d’autre comme chef.