Emmanuel Macron doute qu’un bouclier antimissile européen puisse à lui seul contrer la menace russe

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Emmanuel Macron, qui s’est déclaré prêt à examiner la pertinence d’un « bouclier antimissile » européen, a déclaré vendredi 26 avril 2024 qu’il n’était « pas sûr » que celui-ci puisse « protéger pleinement » l’opposition à la Russie, prônant une image miroir stratégique. en Europe, cela inclut également la « dissuasion nucléaire ».

Dans son premier discours sur l’Europe, jeudi à la Sorbonne, le chef de l’Etat français a annoncé son objectif d’engager des discussions avec les partenaires européens pour construire un « concept stratégique » de « défense européenne crédible ». « se défendre », « avec leurs alliés chaque fois qu’ils sont en mesure de le faire, et seulement si nécessaire ».

« Peut-être voulons-nous un bouclier antimissile pour cela ? » Il a ajouté dans son discours, ajoutant que la dissuasion nucléaire de la France était « essentiellement un détail essentiel de la défense du continent européen ».

Le bouclier antimissile est-il une réponse ?

L’ouverture du bouclier antimissile peut simplement être interprétée comme un pas vers l’Allemagne, qui a mis en place la mission « Euro Sky Shield », à laquelle Paris s’oppose. Berlin a déjà ajouté une vingtaine de pays européens à cette initiative, qui visera à s’assurer que tout équipement de fabrication française aura toujours le mérite des technologies américaines, israéliennes et allemandes.

L’Europe est « le continent que l’on peut atteindre par les missiles » de la Russie, qui « est redevenue une puissance décomplexée », a déclaré Emmanuel Macron à la presse vendredi en marge d’un séjour à Strasbourg. « Le débat a surgi entre les Allemands, notamment parce qu’ils n’ont pas de dissuasion nucléaire, c’est légitime », a-t-il ajouté.

« Est-ce que c’est la bonne réponse ? Je suis sûr qu’il y a un bouclier antimissile qui protège complètement les missiles russes ou qui est dissuasif », a-t-il déclaré. « Est-ce suffisant, pertinent », « crédible ? » Supplémentaire.

« C’est un tout »

Selon le président français, « c’est un paquet » : « avoir nous-mêmes des tirs à longue distance pour le dissuader », « avoir des boucliers, des dômes » comme le propose l’Allemagne, « et intégrer le facteur dissuasif dans cette réflexion ».

Selon lui, il faut faire une « réflexion stratégique » et « clarifier le concept » avant les « capacités » dans le domaine de l’armement, évoquant à cet égard « une petite différence » avec l’approche allemande.

La France est le seul pays de l’Union européenne à posséder des armes nucléaires. Lors d’une visite en Suède en janvier, Emmanuel Macron a réaffirmé qu’il avait « une responsabilité particulière » à cet égard, notamment parce que les « intérêts vitaux » de la France doivent probablement être défendus par cette dissuasion nucléaire « sont en partie nécessairement européens ».

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