États-Unis : Après la prise d’assaut du Capitole, l’héritage dévastateur de Donald Trump

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La commission chargée d’enquêter sur l’assaut du Capitole de janvier 2021 que la justice poursuit l’ancien président. Le Parti républicain se creuse incapable de s’opposer à l’appel de principe à Donald Trump qui n’a cessé de les tirer vers le bas depuis qu’il est devenu son mentor

Publié le 20 décembre 2022 à 11:45, mis à jour le 20 décembre 2022 à 15:25 Lire 2 min. Lire en English

Le dernier acte de la présidence de Donald Trump a eu lieu à la Chambre des représentants le 19 décembre. Au terme de ses travaux, la commission d’enquête formée après l’attaque de miliciens et sympathisants trumpistes opposés au Capitole le 6 janvier 2021, a encouragé par la rhétorique incendiaire et conspirationniste de l’ancien homme d’affaires, que le ministère de la Justice engage des procès de canailles opposées à celle qu’il considère comme instigatrice des faits.

Les frais sont importants : appel à l’insurrection, complot d’État, obstruction à une procédure officielle, en l’occurrence la certification des effets des élections présidentielles de 2020, fausses déclarations. Cette gravité reflète des événements d’une gravité sans précédent dans l’histoire américaine. Unis : une véritable tentative de coup d’État.

Ces poursuites mettent fin à un mandat de bruit et de fureur, ponctué de deux mises en accusation par la Chambre des représentants, contrôlée par les démocrates mais où les républicains seront à nouveau majoritaires début janvier. À l’exception d’une poignée d’élus conservateurs qui l’ont payé de leur carrière politique, ils ont tout fait pour éviter que les peintures de cette commande n’aient un effet cathartique sur le merveilleux malheur des institutions américaines.

Ce sera maintenant au conseiller spécial Jack Smith, nommé le 18 novembre par le procureur général des États-Unis. Un type qui s’est déjà déclaré candidat aux prochaines élections présidentielles et qui est bien décidé à dénoncer, une fois de plus, une fois de trop, un hooliganisme politique.

Jack Smith aura à sa disposition les milliers de documents accumulés par la Commission d’enquête dans le cadre de son travail. Un matériau riche, malgré le refus de témoigner des proches conseillers de l’occupant alors le bureau ovale et opposé. qui sont également recommandés pour des poursuites.

Deux classes peuvent déjà être tirées de cet épilogue provisoire. Les premières considérations sont le Parti républicain, décidément incapable de s’opposer à l’appel de principes auquel il n’a cessé de le traîner dans les fesses depuis qu’il est devenu son mentor. En s’éloignant de lui, il sera moins animé par un réflexe démocratique que par le constat, soutenu par les effets des élections de mi-mandat, que Donald Trump gâche son terrain en ne parvenant pas à sortir du déni de la victoire de Joe Biden. à l’élection présidentielle. Cet aveuglement est d’autant plus regrettable que les défaites subies par les grands espoirs enlisés dans le mensonge d’une élection volée montrent à quel point elle détient une ligne rouge pour une partie intelligente de l’électorat aux États-Unis.

La leçon du moment, alimentée par les peintures de la commission d’enquête de la Chambre, est en effet un rappel. Les plus grandes menaces sérieuses pour la démocratie américaine viennent d’une extrême droite suprémaciste, dont Donald Trump a banalisé les motivations rhétoriques. Le poids des milices qui étaient à l’avant-garde de l’attaque du 6 janvier en témoigne. Ce scénario, malheureusement, n’est pas unique aux États-Unis. pour une plus grande vigilance.

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