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« Je sais comment gagner Trump. Je l’ai déjà fait une fois », a déclaré l’ancien vice-ministre.
Trump a eu des sanctions après que Bogotá réprime les avions qui ont transporté les migrants.
Le Canada a « de nombreuses lettres » sous la manche pour faire face aux tarifs, a déclaré Palyy.
Les ohors ont été entendus au Bell Center samedi soir au début de l’hymne national américain.
Justin Trudeau a l’intention de pourvoir les 10 postes vacants au Sénat du Canada en mars.
Parmi les réponses discutées dans l’économie canadienne, en plus d’une réponse tarifaire en dollars par dollar, il est proposé de faciliter l’industrie interprovinciale et de favoriser les achats canadiens.
Cependant, il existe d’importants obstacles au commerce intérieur. Interdiction de la vente de boissons alcoolisées entre les provinces, découragement de la bureaucratie, mobilité compliquée de la main-d’œuvre : de nombreux observateurs canadiens dénoncent les barrières au commerce interprovincial. Éclairage.
L’idée de lever des barrières au commerce interprovincial a fait son chemin mercredi après une réunion virtuelle des premiers ministres provinciaux avec Justin Trudeau. Davantage de travail doit être fait pour faciliter le commerce intérieur, a écrit le premier ministre dans un communiqué après la rencontre.
Dans une entrevue accordée à CBC News, la ministre du Commerce intérieur, Anita Anand, a estimé que la suppression des barrières existantes au commerce intérieur pourrait faire baisser les prix jusqu’à 15 %, stimuler la productivité jusqu’à 7 % et ajouter jusqu’à 200 milliards de dollars annuellement à l’économie canadienne.
Selon les données statistiques les plus récentes au Canada, environ 532 milliards de dollars en marchandises et franchi les frontières provinciales et territoriales en 2023, ce qui équivaut à 18,1% du PIB du Canada.
Un tel relance à l’économie serait le bienvenu, à un moment où les listes de prix des États-Unis peuvent mettre en danger des milliers d’emplois au Canada.
Les montagnes russes que nous avons eues avec les déclarations du président des États-Unis ont réveillé l’élégance politique de prioriser le commerce interprovincial, a déclaré François Vincent, vice-président de la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) au Québec.
Les barrières entre les provinces ralentissent l’économie du pays. Le FCEI, qui est le plus grand regroupement des PME dans le pays, martèle depuis plusieurs années et demande des obstacles provinciaux aux gouvernements provinciaux.
À quoi s’attendre pour l’avenir? Après l’assemblée virtuelle mercredi dernier, les premiers ministres ont convenu d’apporter la combinaison du commerce dès qu’ils imaginent faire des recommandations sur des mesures concrètes pour libéraliser l’industrie et renforcer l’économie du Canada, a déclaré Trudeau.
Les premiers ministres des provinces s’efforcent de montrer un front uni face aux menaces de tarifs de Donald Trump. Pourtant, ici même au pays, des règles freinent le commerce entre les provinces. Des voix s’élèvent depuis longtemps pour abolir ces barrières et pour stimuler les échanges à l’intérieur du pays. Le reportage de Danielle Kadjo.
Malgré une volonté de libéraliser le commerce intérieur depuis des décennies, de nombreux obstacles demeurent.
Le Canada a fait un pas en avant en 2017 avec la signature de l’Accord de libre-échange canadien (ALEC), qui a permis à l’ensemble de provinces et des territoires, conjointement avec le fédéral, de s’entendre pour réduire certaines barrières commerciales existantes.
Or, au cours du processus de signature de l’ALEC, une série d’exceptions ont été négociées par les provinces et les territoires.
Encore à ce jour, 263 exceptions sont en vigueur. L’ALEC a donc donné peu de résultats depuis 2017, estiment des experts.
Par exemple, au Québec – province avec le plus grand nombre d’exceptions au pays – on exige notamment que tout le bois issus de ses forêts soit entièrement transformé dans la province avant d’être vendus à l’extérieur.
Certaines exceptions sont logiques compte tenu des différences géographiques, linguistiques et culturelles des provinces, estime Carlo Dade, directeur de l’infrastructure commerciale à la Canada West Foundation. Par exemple, les entreprises qui souhaitent vendre ou se développer au Québec doivent se conformer aux lois de la province relatives à la langue française.
Mais d’autres critères réglementaires sont incompréhensibles par François Vincent du CFIB. Si vous avez inspecté la viande dans une agence provinciale, je ne pourrai pas la vendre dans aucune autre province. Si je m’inspectera par le biais de la [Agence d’inspection des aliments] Canadiens, c’est bien « , » il fournit à titre d’exemple.
Le Premier ministre de la Nouvelle-Écosse, Tim Houston, a déclaré mercredi qu’un dispositif médical d’entreprise de sa province est vendu exclusivement aux États-Unis.
Le premier ministre ontarien, Doug Ford, a quant à lui qualifié de ridicules certaines de ces règles faisant obstacle au commerce intérieur.
Il y a un principal obstacle: la vente de boissons alcoolisées est toujours interdite parmi les provinces.
Selon Philippe Couillard, qui était premier ministre du Québec lors de la signature de l’ALEC, les politiciens sont frileux à modifier les règles entourant les boissons alcoolisées.
C’est que la libéralisation du marché pourrait entraîner une baisse des ventes des sociétés d’État, comme la SAQ ou la LCBO, affectant ainsi leur dividende, explique-t-il.
Au-delà des biens et services, la mobilité de la main-d’œuvre reste difficile entre les provinces, notamment en raison du problème d’équivalence de diplômes.
En Europe, dès que vous êtes membre ou citoyen de l’Union Européenne, nous pouvons peindre dans presque tous les pays. Or, voilà ce qu’on voit, c’est que, selon nos professions, c’est vrai qu’on peut passer à la province voisine et aux peintures si doucement que ça déplore Pierre Marcel Desjardins, professeur d’économie à l’École d’études publiques de l’Université de Moncton.
Compte tenu de cette observation, M. Dade suggère que d’autres provinces respectent l’accord publicitaire de la nouvelle association occidentale, concluant en 2010 entre la Colombie-Britannique, l’Alberta et la Saskatchewan, auquel le Manitoba a ajouté en 2017.
Cet accord permet, entre autres mesures, de qualifier les peintures de ces 4 provinces sans avoir à approuver les examens ou à continuer une plus grande formation.
Parallèlement à la volonté de libéraliser le marché intérieur, Justin Trudeau et certains premiers ministres provinciaux pressent la population d’acheter canadien, afin de nuire à l’économie américaine.
Lorsque vous voyez des produits « fabriqués au Canada » O « fabriqués en Ontario « , achetez-les. Soyez pour envoyer un message aux détaillants géants. Costco, Sobeys, Walmart, Metro et Loblaws. Acheter des produits canadiens, en particulier, déclaré Doug Ford.
Plus d’explication pourquoi acheter local: Bien qu’Ottawa prévoit d’appliquer les importations d’importations en importations en provenance des États-Unis, la valeur des produits américains peut sauter dans les semaines à venir.
Le Premier ministre de la Colombie-Britannique, David Eby, demande même à la population de reconsidérer ses vacances aux États-Unis dans la douce menace des prix de Trump.
Nous dépenserons de l’argent dans un pays qui a besoin de nuire aux Canadiens sur le plan économique.
Mais les observateurs se souviennent que l’acquisition canadienne a des limites.
Dennis Darby, président et chef de la direction des fabricants et exportateurs canadiens, dit qu’il est facile d’acheter le Canadien en termes de nourriture, de boissons, de nourriture pour chiots, de cosmétiques et de meubles.
Mais la localisation d’un équivalent canadien est des types de biens sûrs plus confus. Vous ne pouvez pas acheter un lave-vaisselle fabriqué au Canada parce que nous ne faisons plus de lave-vaisselle « , explique le gars dont l’organisation représente 2 500 fourrages à travers le pays.
Nous présentons une grande transformation des clients d’achèvement de l’achèvement au Canada, et Torsten Søchting Jaccard, professeur adjoint à la Vancouver Economics School de l’Université de la Colombie-Britannique. Nous produisons un composant géant des matières premières.
Qui plus est, les fruits et les légumes canadiens disponibles en hiver étant limités, certains consommateurs continueront inévitablement à se tourner vers les importations américaines, avance Ron Lemaire, président de l’Association canadienne de la distribution de fruits et légumes.
Dans le même sens, le Premier ministre du Québec, François Legault, propose de mettre en vigueur un « acte canadien », similaire à « l’American Act ».
La loi américaine sur l’achat, qui permet aux États-Unis de demander jusqu’à 70% du contenu américain dans ses appels d’offres, ne connaît rien de cet aspect de la frontière, a déclaré Legault, mercredi.
De la même manière que nous ne pouvons pas présenter une offre dans un contrat américain avec un contenu de 70% du Québec, je ne vois pas pourquoi [. . . ] nous ne demanderions pas l’opposé des États-Unis « , a-t-il déclaré.
Avec CBC et Danielle Kadjo