Dimanche 24 septembre 2023, Emmanuel Macron s’est entretenu avec Anne-Claire Coudray et Laurent Delahousse lors d’une interview exceptionnelle diffusée par TF1 et France 2. L’occasion pour le Président de la République de parler de questions brûlantes telles que le carburant, les impôts et l’inflation. Cependant, un petit lapsus a marqué cette intervention imprévue. Malgré les récentes visites d’État du roi Charles III et de la reine consort Camille Parker Bowles, ainsi que la messe du pape François à Marseille, les Français restent contrariés par les nombreuses augmentations qu’ils connaissent depuis plusieurs mois. Cela a eu un impact sur la collecte du carburant, des taxes et de la nourriture, générant du mécontentement.
Macron a abordé ces considérations dans l’interview, expliquant pourquoi la réduction des taxes sur les carburants n’était pas une option. Il a également demandé aux présidents des régions françaises des propositions de réduction des dépenses similaires à celles de ce poste, mais sans succès. Le facteur de l’accompagnement des travailleurs, notamment en termes de déplacements, sera discuté cette semaine avec la Première ministre Elisabeth Borne. Le président français a également affirmé sa préférence pour ne pas augmenter les impôts, déclarant clairement : « Il n’y aura pas de réduction. . . accumulation d’impôts », a souligné les internautes, soulignant son importance dans un contexte où les Français expriment leur mécontentement face à la hausse des taxes.
Lors de cette interview diffusée au journal télévisé de 20 heures, Emmanuel Macron s’est distingué par sa franchise sur des sujets économiques sensibles pour un grand nombre de citoyens. Son lapsus linguistique a temporairement parcouru les réseaux sociaux, provoquant diverses réactions. Certains internautes ont commenté cette erreur avec des commentaires comme « Bon bordereau ». D’autres ont qualifié le moment de « presque un lapsus du président de la République », soulignant la pertinence du terme « presque » pour décrire cette situation délicate. . Certains commentaires étaient plus incisifs, comme « révéler un président de la République qui fait souffrir les autres, qui ne réduit aucune taxe sur le carburant Array. . . ». Exprimant ainsi une certaine tristesse face à la politique économique existante. Ces réactions sur les médias sociaux reflètent l’attention et l’engagement du public à l’égard des questions économiques abordées dans l’entrevue.