L’allemagne devient le principal contributeur de l’Agence Spatiale Européenne (ESA) – Tribune.fr

Un drapeau allemand vole au-dessus de S ville… Le triomphe de l’Allemagne. Berlin avait écrit la copie du montant de sa contribution avant de l’Agence Spatiale Européenne(ESA) mini-finale, qui a eu lieu les 27 et 28 novembre dans La Ville (Space19). Et pour une bonne raison: il devient, loin devant la France, de la première nation de contribuer au budget de l’ESA sur cinq ans: 3,29 milliards d’euros, soit 22,9% du budget de l’Agence Spatiale Européenne enne (14.38 milliards d’euros au total accord des programmes spatiaux de l’Europe). C’est-à 630 millions d’euros de plus que la France, qui a largement perdu de sa position historique de leader Européen avec 2.664 milliards de dollars (soit 18,5% du budget de l’ESA), même si elle a été en mesure d’ajouter de 160 millions d’euros à 2,5 milliards d’euros attendus avant la réunion minist rielle

Aujourd’hui, la France est même fuite en Italie, qui a fait un très gros effort financier en mettant sur la table de l’Espace de l’Europe 2.282 milliards de dollars (15.9%). Prochaine dans le top cinq de l’ESA contributeurs, le royaume-Uni avec 1.655 milliards de dollars (11,5%) et, enfin, de l’Espagne à 852 millions d’euros (5.9%).

Mais la France reste en tête pour les trois prochaines années…

Face à l’allemand bulldozer, la France a tenté de minimiser l’importance de Berlin effort financier de l’. « Les Allemands ont mis plus de, a admis le Président du CNES Jean-Yves Le Gall, interrogé par La Tribune. Mais, il explique, pour tempérer l’allemand triomphe de S ville, « nos contributions annuelles sont supérieures. » Ceci est confirmé par le Ministère de la Recherche: « au Cours des trois prochaines années, la France reste en tête ». Mais les effets de ce commandement allemand sera d’autant plus évident dans le long terme… Si, pour l’espace de l’Europe cette aubaine financière est une bénédiction, le français, les industriels devront apprendre à passer après leurs partenaires allemands à cause de la fameuse droit de retour de l’année, ce qui, certes, doit être volontaire, mais encore de l’ESA. Une réflexion doit être lancée pour améliorer ce principe, jean-Yves Le Gall, La Tribune a dit.

En dépit de cette illusion, la France a obtenu pour le lanceur, l’un de ses priroit s, ce qu’il voulait. C’est-à 2,23 milliards de dollars, plus de 512 millions d’euros pour le port spatial de l’Europe à Faible Kourou (Centre spatial Guyanais). Une satisfaction pour le Fran ais, qui a mis sur place plusieurs manifestants comme l’avenir du moteur faible coût de Prométhée, qui a déjà engrangseveral dizaines de millions d’euros, l’ultra-haut carbone tag Icare et le seuil de r Th jeu. C’est également le cas avec Callisto.

Enregistrement des engagements financiers

« Nous avons battu tous les records en termes d’engagements financiers », a déclaré Jean-Yves Le Gall. Ce budget de 14.38 milliards d’euros, en hausse de 40% depuis le précédent conseil départemental, a atteint un déséquilibre dans la somme, depuis la création de l’organisation intergouvernementale en 1975. Il aidera à financer le nouvel espace de programmes sur une période de trois à cinq ans. « C’est un pas en avant pour l’Europe, car il n’était pas vide pour parvenir à de tels engagements dans le contexte économique que nous connaissons des états membres à mettre autant d’argent et enfin surévaluer les propositions que l’ESA avait fait, » at-il expliqué à La Tribune.

COMME conséquence, les états membres de l’ESA ont lancé une série de programmes qui permettront à l’Europe de l’autonomie en termes d’accès ingeland et l’utilisation de l’espace d’ici 2020, de stimuler la croissance de l’économie d’espace. La Société européenne, et de faire des découvertes pour la connaissance de la Terre, le Système Solaire et l’Univers. Pour ne pas mentionner une question clé: intensifier les efforts déjà entrepris pour assurer la sécurité et la protection de notre plan.

Un parcours sans faute l’effort pour le programme scientifique

Pour la première fois en 25 ans, une importante augmentation du budget a été accepté par le Programme Scientifique ($2,82 milliards). L’ESA sera capable de mettre EN orbite LISA, le premier espace de l’observatoire d’ondes gravitationnelles, mener à bien le Athena mission, qui comprendra l’étude des trous noirs, et de rendre plus difficile étape vers la compréhension des phnomnes. fondamentales de la physique de titres de l’Univers. Les états ont également investi dans la préparation de futures missions, l’affectation de fonds supplémentaires pour les activités de recherche et développement, ainsi qu’à l’ESA laboratoires.

Sur l’exploration de l’espace, de l’Europe, aux côtés de ses partenaires internationaux, va continuer à repousser les limites: la poursuite de la participation dans les activités de la Station Spatiale Internationale jusqu’en 2030 et le développement de modules de transport et critique de logement pour la Passerelle, un non-dits lunaire station orbitale projet. Les astronautes de l’EsA recrutés en 2009 continueront d’être affectés à des missions jusqu’à ce qu’ils ont tous terminé une deuxième journée dans l’espace. Européen des astronautes va voler vers la Lune pour la première fois. Ainsi, les ministres ont confirmé la participation de l’Europe, un pionnier de la mission de retour d’échantillons Martiens, en coopération avec la NASA.

Soutien au concurrentiel

L’ESA va permettre aux entreprises innovatrices et les gouvernements des états membres à tirer parti de l’exploitation commerciale de l’espace. Pour ce faire, il convient donc de promouvoir la compétitivité de l’Europe dans le contexte de NewSpace: le développement de la première entièrement flexible pour les systèmes de satellite, conçu pour être intégré dans 5G systèmes, ainsi que les technologies optiques de nouvelle génération, destinés au réseau commun appelé espace de la fibre optique. Ces innovations devraient marquer un tournant dans le secteur des communications par satellite. Par l’utilisation de ces technologies pour la navigation, l’ESA va commencer à développer des systèmes de navigation pour l’exploration de la Lune.

Dans le domaine de l’espace, les transports, les ministres ont veillé à ce que la transition avec la prochaine génération de lanceurs, Ariane 6 et Vega C – était lisse, et a donné le feu vert pour continuer l’Espace Coureur projet, qui permettra de doter l’Europe d’un véhicule spatial réutilisable. Enfin, les etats membres de l’ESA ont commis eux-mêmes à une utilisation responsable de l’environnement, à la fois sur notre propre et dans l’espace. Dans le domaine de l’observation de la Terre, l’ESA va renforcer sa position de chef de file mondial par la mise en œuvre de 11 nouvelles missions, y compris le changement climatique tâches liées à l’Arctique et de l’Afrique.

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