Un agriculteur pand glyphosate dans son domaine, de Saint-Germain-sur-Satthe, dans le nord de la France. JEAN-FRANCOIS MONIER / AFP
Que faire si l’utilisation d’herbicides concernés, dans un terme, une plus grande utilisation de l’herbicide? C’est ce que l’française de Sécurité sanitaire de l’Agence (Anses) a conclu. La variété de l’agriculture des taux qui ont été faits pour tolérer un herbicide présente un risque de développement de mauvaises herbes et, par conséquent, l’augmentation de l’utilisation des phytosanitaires, les plantes, l’Anses a averti jeudi (28 novembre).
L’agence est intéressée à la variété des plantes qui ont été utilisées pour tolérer l’herbicide classiques ou techniques génétiques, aka VRTH. À l’aide de THAVs, par exemple, permet à un agriculteur de se débarrasser des mauvaises herbes par le traitement de son champ avec de la graine de colza avec un herbicide, sans tuer de colza.
Après avoir analysé les pratiques de culture, lAnses confirme les risques de développer de mauvaises herbes cicatrices (nocifs de la production de plants) pour les herbicides et, finalement, l’augmentation de l’utilisation des herbicides, déjà mis en évidence dans le rapport de l’INRA-CNRS expertise collective en 2011 , l’agence indique, dans son avis.
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L’Agence souligne également le manque de moyens de transport de l’utilisation de ces graines, ce qui rend difficile l’évaluation de leur agronomiques et impacts sur la santé. Par conséquent, elle recommande de mettre en place un dispositif de surveillance pour surveiller les éventuels effets indésirables de VRTH. En effet, comme tous les arables graines en France, VRTH ne sont pas soumis à une évaluation des risques avant qu’ils ne soient mis sur le marché et, ce jour-là, il n’est pas obligatoire la surveillance de ces graines.
En France, la culture de la trans-transgistic VRTH n’est pas autorisé, de sorte que tous les VRTH cultivés en France ont été obtenus par la traditionnelle sélection variétale ou par mutagène se al atoire, les rapports de LAnses.
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Mutagène couvre un ensemble de pratiques qui visent à introduire volontairement des mutations génétiques dans un organisme vivant. Il est appelé GMOGs caché par ses tracteurs. Dans le cadre de la législation sur les OGM, les organismes obtenus par mutagène ont eux-mêmes exemptés de l’évaluation et de l’autorisation de marché et ne sont pas obligatoires suivi existe aujourd’hui, rappelle l’Anses.
En France, en 2017, les terres cultivées avec la GRTH en dol-de la récolte représente 27% des surfaces de tournesol (environ 160 000 hectares) et de 2% de graines de colza (environ 30 000 ha). De la Lavis de lAnses fait partie d’un débat plus large sur l’utilisation de la biotechnologie dans l’agriculture et d’une décision de la Cour Européenne de Justice, qui peuvent avoir des répercussions sur leur cadre réglementaire.
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