Scandale de cadavres de l’école de médecine de Paris: ce qui arrive à un corps l gu la science? LCI LCI

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2019-11-28T15:19:55.616 Z – Romain LE VERN

Les habitants v tustes, d pouilles putr fi es… Accusé par L’Express de les garder dans des conditions exceptionnelles les dégoûts de gens qui ont choisi de faire don de leur corps à la science, un centre spécial de l’Universitī e Paris-Descartes a été immédiatement fermé le mercredi. L’école de médecine a présenté « ses excuses à la famille sur cette situation », mais une légitime question demeure: quel est l’impact de ce scandale sur l’avenir des bailleurs de fonds?

Il ne fait aucun doute que certaines personnes sont au courant de la même manière sur les réseaux sociaux. « Comment peut-on être sûr que ce n’est pas le cas ailleurs? », s’interroge l’utilisateur. « Je voulais donner mon corps à la science, mais avec cette histoire, hors de question. »

Comment pouvons-nous nous assurer que les corps sont (et seront) bien traités, dans tous les instituts? La lecture de l’article dans L’Express, Loris, 21 ans, un jeune étudiant en école de médecine de Nantes spécialisée dans l’anatomie, ne cache pas son désarroi.

« Au début, ce n’est pas l’étudiant en médecine, qui fonctionne, mais l’homme, je l’ai mis à la place des familles et je suis assez horrifiée, avoue-t-il de LCI. « La personne elle-même est de mais au cours de sa vie, elle a dit à sa famille de son intention de donner son corps à la science. J’ai d’abord pensé pour le respect de la dignité humaine. Lorsque le corps arrive au laboratoire, il est certainement anonyme, mais il n’est pas n’importe qui, c’est une personne. C’est la façon dont nous envisageons l’université de Nantes. Deuxièmement, en tant qu’étudiant, quand vous donnez à votre corps la science, il est profondément altruiste et pas à titre gratuit de plain – pied de Nantes, il faut compter entre 800 et 900 euros de donner son corps à la science. »

Quand j’ai lu le lenqute de « Lexpress », je suis tombé du nu.- Loris, étudiant en médecine, l’université de Nantes

Loris ne craint donc que la diatization d’une telle chaud scandale de personnes à la charge de l’sirinous de la connaissance de leur corps à la science et qui menacent de lever leur consentement. « Et il est tout à fait compréhensible, » conc de l’étudiant en médecine. « Personnellement, je tiens à exprimer ma gratitude aux personnes qui nous ont donné le cadeau ultime si bien, que, très sincèrement, quand j’ai lu le L?express inquiment, je suis tombé sur le bleu. Et je dois avouer que je suis préoccupé par le risque d’une rare faction de ce don, compte tenu de l’importance c’est la ré-adoption dans notre formation. »

Donc ce qui peut être fait pour rassurer ceux qui restent douteux? Pour dire clairement que devient un corps une fois que la science est connue, que l’administration française est actuellement infestant: dans la plupart des cas, les corps finissent uncincently et leurs cendres dispersées dans un jardin du souvenir. Ce qui a le Ceran (Centre pour le Corps des Dons), par exemple? L’université de Nantes dans un cimeti re-parc de 1992 à 2008. Aujourd’hui, le dit cendres sont dispersées près de Angers et que cela reste un moyen d’accompagner les depouilles avec une vraie connexion.

Et en attendant, comment le corps est-il passer? Loris, qui s’est engagé à tuxde avec des médicaments pour être « utile à d’autres », rappelle LCI que les modalités précises dépendent de chaque centre dans lequel son corps est décidé: « Dans le cas de la faculté de Nantes, le transport du corps est effectué après l’ . Et il y a un certain nombre de choses qui sont évidentes: que ce n’est pas une mort suspecte, que nous avons le consentement de la personne en question, que le corps n’est pas contagieux? Dès le début, deux possibilités: soit le corps peut être utilisé frais, en particulier pour les étudiants de chirurgiens; ou elle va subir les processus de conservation, en particulier dans le formol. L’exemple le plus connu du grand public est les chirurgiens qui sont le développement de nouvelles méthodes de travail en chirurgie cardiothoracique ou la neurochirurgie. »

Grâce à un don d’organe, Loris, en tant qu’étudiant, peut approfondir sa formation de l’anatomie: « Lors d’un cours, pour chaque bin moi, un bras a été mis à disposition, allant de l’épaule à la main. Un dissed que le bras, l’autre à l’avant-bras et la main. Cela permet d’apprendre la relation entre les nerfs, les muscles, le lien avec la physiopathologie, les symptômes du patient, à la vue de ce qui était connu avant? par le biais de sch mas de la craie pour les tables. Il corrige également quelques-unes des fausses idées préconçues qui ont été apportées ».

À la première erreur, le conseil de discipline explique clairement les élèves à qui la faute sur le corps de la science est inconcevable, primal. À partir du début.- J. Marty, Président de l’Union française pour une médecine gratuit

Un exemple parmi tant d’un corps de l’environnement étudiant, puis. Pas de dissection est autorisé sur ce sujet, comme LCI J r.M. Marty, président de l’Union française pour une gratuit de la médecine, se confie: « Un conseiller ordinal qui prend soin de l’anatomie de la chair dans une faculté en France qui m’a dit que lors d’une dissection , un étudiant de la pensée intelligente, pour y mourir? il a du cadavre sur lequel il officiait, de faire les autres élèves intelligents. Ils me disent qu’ils ont immédiatement quitté la salle et l’a envoyé sur le conseil de discipline pour expliquer les choses pour lui, c’est clair pour les élèves à qui la faute sur le corps est à l’intérieur, primal, depuis le début. » Ce qui, à ses yeux, fait le charnier de l’Université de Paris-Descartes incompréhensible et inacceptable. Ce dernier nous assure, par l’intermédiaire de Twitter que l’affaire progresse.

Brigitte Mauroy, ancien directeur du centre pour les organismes de entre 2013 et 2016, rappelle de son côté LCI quel point, en dépit de l’horreur décrite dans le l? Express, la science a besoin de corps des dons pour l’anatomie, de la formation des médecins, pour la formation des chirurgiens, pour la recherche: Il faut le rappeler, tns, que dans d’autres laboratoires, pas une n’arrive qu’une et ce qui s’est passé à Paris est profondément scandaleux. Quand nous serons de retour à la faculté, bien sûr, nous les traitons avec respect. Comme un urologue, je Ne travaille pas sur la vessie, de la prostate? Autour de 2010, j’avais fait des recherches sur l’étude de l’orgue de l’innervation dans le bassin et, ce travail a permis d’identifier l’innervation de la région pelvienne cavit et de mieux comprendre les pathologies. » C’est autant de côtés de l’anatomie qui absolument ne pas avoir de corps de cadeaux.

Face à cette opprobre jeter sur sa présentation, l’étudiant en médecine attend que d’une chose: « je veux évidemment une enquête sera ouverte pour vous, mais qu’il est transparent, accompagné par une communication adressée au public en général pour dire que non, il n’est pas normal ce qui s’est passé à Paris au Corps d’armée du Centre, et que oui, les personnes dont la responsabilité sera indiqué lors de l’enquête seront leurs actions et de la justice. »

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