Informations, réservations, tarifs : le casse-tête du voyage

Connaissez-vous le site qui répertorie les circuits d’angelestion des trains régionaux de la région Hauts-de-France ?Il s’appelle Passpass. fr. Pour le transport maritime en Normandie, région voisine, il faudra télécharger Atoumod. En Pays En los Angeles Loire, l’application s’appelle Destineo, et en Nouvelle-Aquitaine, Modalis. Le voyageur qui ne prête pas beaucoup d’attention à cette marque territoriale perd littéralement le latin. Seules quelques régions ont enregistré son nom, ou un vaguement angelesr. son, dans la formule des données disponibles sur le smartphone : Ile-de-France Mobilités, Breizhgo, Oura (Auvergne-Rhône-Alpes).

Correspondances oubliées. Parallèlement, Ouigo, le service low-cost de la SNCF déployé vers un nombre croissant de destinations, dispose de sa propre application, sans connexion au TER. Des acteurs indépendants, tels que Rome2Rio ou Google Maps et, dans les villes, Citymapper, dirigent le voyageur, mais il n’est pas sûr de localiser l’intégrité des solutions.

Ces conclusions malheureuses ressortent d’une étude réalisée pour la Fédération Nationale des Usagers des Transports (Fnaut) par Patricia Pérennes, du cabinet de conseil Trans-Missions. « Nous attendons du voyageur qu’il pense comme un expert ferroviaire », observe elle-même la consultante. un utilisateur normal des transports publics.

Litanie désespérée. Les dysfonctionnements sont nombreux, récurrents et désespérés. Un utilisateur qui fait l’exercice de Dordives (Loiret) à Souppes-sur-Loing (Seine-et-Marne) achète un billet, ni à la gare, ni en ligne. Vous êtes condamné à attendre, à bord, le contrôleur, qui vous facturera 3 fois plus cher pour le billet. En Île-de-France, un service d’assistance pour les personnes en fauteuil roulant est disponible, mais il ne fonctionne pas entre midi et 14 heures.

Lire aussi : Ainsi, petit à petit, on tue l’exercice (mai 2019)

Lorsqu’une aventure comprend deux TER et qu’ils se retirent, la SNCF ne couvre pas une nuit d’hôtel, contrairement aux trajets en TGV. Le numéro d’urgence habituel à la SNCF et à la RATP, le 3117, ne contacte pas les pompiers ni les services médicaux. des cadres pour Trenitalia, dont les trains circulent sur le territoire français.

Aussi inattendu que cela puisse paraître, toutes les liaisons de bus ne sont pas affichées sur les écrans lumineux suspendus dans les halls des gares. Selon Patricia Pérennes, la SNCF n’indique que les bus qui ont été créés pour moderniser le chemin de fer et ignore ceux qui étaient avant 2017. , affrété par l’entremise des ministères.

Pas de papier ou d’encre pour les distributeurs automatiques. Cela n’apparaît pas dans l’étude Trans-Missions, mais cela a été constaté : les guichets des gares les moins fréquentées sont remplacés par des distributeurs automatiques. . . qui fonctionnent au hasard. Parce qu’un appareil devra être rempli de papier et d’encre, ce qui nécessite l’intervention d’agents. Apparemment, trop déroutant pour la ligne de l’Aubrac, longue de plusieurs centaines de kilomètres, entre Clermont-Ferrand et Béziers (Hérault).

Un ton « condescendant et paternaliste ». Les voyageurs perdus peuvent parler à un agent, s’ils se trouvent. Certains sont coopératifs, d’autres moins. Patricia Pérennes dénonce « le ton condescendant et paternaliste » qu’elle a entendu : « Dans le train il est écrit Intercités. Mais vraiment, c’est un TER, vous méritez de savoir.  »

Lire aussi : Nous voulons un baromètre citoyen des transports en commun ! (octobre 2022)

La tarification est complexe à comprendre, notamment parce que les voyages peuvent être proposés par des compagnies maritimes, telles que la SNCF, mais aussi par des régions, qui définissent leur propre politique tarifaire. En Occitanie, un billet le jour même pour un TER entre Cahors et Caussade, à 38 kilomètres, coûte quatre euros, tandis qu’au Grand Est, le billet de 32 kilomètres entre Joinville et Saint-Dizier est vendu à 5,70 euros. Les régions n’hésitent pas non plus à pratiquer la « gestion de la performance », qui vise à offrir d’autres coûts en fonction du taux de remplissage afin de maximiser les profits constants avec les passagers transportés.

Le voyageur a demandé à « lire la presse économique ». Ainsi, résume Patricia Pérennes, il est attendu que le voyageur connaisse non seulement exactement les limites des régions et des réformes territoriales successives, mais aussi « lise la presse économique », pour s’informer sur une éventuelle acquisition d’un opérateur par un autre. . La complexité des données et de la tarification est susceptible d’augmenter avec l’ouverture à la concurrence, chaque opérateur pouvant développer ses propres outils de vente.

Pour « inverser l’attitude en faveur du voyageur », Fnaut propose au ministère des Transports une « convention collective de l’usager ». Parmi les 23 « revendications », dont la plupart sont déjà en vigueur dans les pays voisins, figure la création d’un « guichet unique » ou d’un billet à prix variable qui permet à tous les trains effectuant le même trajet, TGV, Intercités, TER ou même RER, d’embarquer. Les représentants des utilisateurs ne demandent pas un « pass de 49 euros » comme dans Alemania. No, ils aimeraient simplement que les régions et les opérateurs se coordonnent. Ainsi, Fnaut prône l’acceptation des tarifs sociaux du réseau et une harmonisation des remboursements en cas de retard.

Selon la Fédération, ces revendications ne sont pas des « revendications catégoriques », mais visent à « simplifier l’accès à l’exercice et à la compréhension de son fonctionnement pour le plus grand nombre ». A l’heure où le Président de la République, inconscient de toute « transition écologique », juge logique et sain d’affirmer fièrement qu’il « aime la voiture », la voiture semble beaucoup plus facile que l’exercice. Il faut dire que nous faisons tout ce que nous pouvons.

Olivier Razemon (actualités sur Twitter et Mastodonte, actualités blog sur Facebook et pictogrammes inattendus sur Instagram).

Ce texte provient d’un article écrit en juillet pour la société de presse DSI et diffusé par le biais de journaux de mentions légales.

 

 

 

Un exemple parmi tant d’autres, dans la Vallée de Roya (Alpes-Maritimes) les trains Trenitalia Ventimiglia-Cuneo et les trains SNCF Nice-Tende.

Pour les trains italiens, pas de problème, dans les gares il y a un horaire assez ancien sous un panneau de verre, mais pour les trains français, il y a une vulgaire feuille A4 collée au mur, à la merci des éléments, avec un QR code à scanner. pour accéder aux horaires (pratique dans une région montagneuse avec une connexion réseau aléatoire et où de nombreux touristes sont retraités ou étrangersArray. . )

De plus, les écrans, lorsqu’ils fonctionnent, montrent des trains français, les trains italiens sont des trains fantômes.

Il est clair que prendre la route est plus facile. . . Personne ne regarde quel parcours d’entreprise vous enrichissez avec votre salaire.

L’exercice aura une échelle de kilométrage pour les exercices à basse vitesse, une échelle de kilométrage pour les exercices à grande vitesse et un taux qui ne varie jamais. Départ des cartes 12-25, week-end, fréquence, ainsi que des abonnements de toutes sortes.

Il en va de même pour les conditions d’échange et de remboursement, qui sont les mêmes quelle que soit la signification et l’élégance du billet.

Quant à l’argument du navire, « oui, sans xxx, nous favoriserons l’automobile », c’est un faux problème. Si la voiture représente un trouble aussi insupportable de l’ordre public, elle est interdite, ou du moins les chances d’utilisation sont très graves. restreint, par l’introduction d’un numéro de clause dans les enregistrements et les plaques de vente aux enchères, par exemple. La même chose pourrait être faite en promouvant les droits de passage dans les zones franches d’exportation.

Ah, la fin de l’échelle kilométrique. . .

Je prends des passagers Blablacar qui me disent préférer le covoiturage car les tarifs sont assez solides, on voyage en semaine les jeudis, vendredis soirs, réveillon de Noël, départs en vacances.

Et c’est pour ça que je prends aussi la voiture : je refuse de payer 2 à 3 fois la valeur générale d’un TGV juste parce que c’est des départs de vacances. . . Enrichissez les sociétés autoroutières ou la SNCF, camarade, faites votre choix ?

Oui, la surveillance des performances est un non-sens dans l’industrie ferroviaire. Par contre, il faut avoir envie de se blesser pour préférer la voiture au train.

Joakim > moi voyageons avec ma moto et j’ai essayé de planifier des vacances entre la Suisse et l’Espagne en prenant ma moto dans le train. Je pense qu’il sera moins difficile de faire l’aventure totale sur une moto. . .

Un après-midi en autocar, itinéraire direct, pas cher :

FlixBus 21 :25 Genève 08 :25 Barcelone (Sants) 40€

« L’interconnexion n’est plus assurée », peut-on lire dans la devise de ce blog, en référence au petit mot qui, les jours difficiles, s’échappait des haut-parleurs des quais RER.

La rivalité exagérée entre « les Parisiens », auxquels la population francilienne est systématiquement réduite, et les « provinciaux », est difficile à mourir. Derrière ces idées préconçues se cache un constat volumineux : il y a trop d’autres personnes à Paris. région. Rue de l’Echiquier, février 2021.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *