Décès suspect de personnes en Normandie. Une decin et son bébé inculpé – Ouest-France

L’affaire remonte au début du mois de décembre 2017. Informer qu’un m decin, d’exploitation dans la zone est de la responsabilité de la Haute Cour du Havre, avait livré un 93-year-old patient, maintenu sa maison et d d e à la fin de 2017, midazolam ampoules, le bureau du procureur a ouvert une enquête Pré-austérité. Pour l’anomalie provient de l’utilisation de ce médicament: Presentthe de la famille comme un dcontractant ou somnif ger, il est réservé à une vis e anxiolytique et hypnotique utilisation des hôpitaux, dans des protocoles danesth sie .

Les policiers ont d’abord été dirigé par le F camp les services de police, puis de co-saisis de la section de recherches de Rouen, de la Gendarmerie et de l’Office Central pour la répression de l’Environnement et de la Santé Publique des Violations. Les enquêteurs ont pris sept des patients des médecins entre 2015 et 2019. Après leur exhumation, les tests toxicologiques conclut que la présence de Midazolam dans le corps de cinq d’entre eux, 88 93 ans et de soins à domicile pour des pathologies graves (cancers, insuffisance cardiaque ou de maladies pulmonaires).

Treize ampoules de Midazolam ont été découverts lors de la perquisition du cabinet médical du médecin musée, situé à proximité de F camp. Arrêté le 12 novembre et placé en garde à vue, il a admis à l’administration de la solution injectable, fourni par son poète, une anesth site dans une clinique de la lagglom ration à Rouen, pour soulager et apaiser les malades. Il nie toute intention d’euthanasier.

Condamné à 20 ans de réclusion

Le membre et son adjoint ont été mises en examen le 13 novembre et placée sous contrôle judiciaire par ordonnance du juge d’instruction, sans interdiction de la pratique. Le bureau du procureur général a interjeté appel de cette décision, suivie par de Rouen, Cour d’Appel, qui, à jeudi (28 novembre) a demandé une interdiction totale de la pratique pour le personnel médical, et à l’exercice comme une oprative bloc pour l’anesth site praticien.

Administration de substance nuisible ayant entraîné la mort sans intention de la donner à un vullable personne est punissable d’une peine de 20 ans pénale re-gain, et l’acquisition ou le transfert de la contagion de la substance sans preuve ou de l’enregistrement jusqu’à cinq ans de prison et 375 000 amendes. Le lien de causalité entre l’utilisation de ce médicament et de ses conséquences restera, le procureur conclut.

à ce jour, aucune des familles de d-c les patients qui ont été suivis par le système médical, a déposé une plainte, ni une forme de partie civile.

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