I Preshyd, Croqueta, traité. Quelle est la bonne nourriture pour votre chat? Notre conseil.
Notre chèque montre: il y a des produits très intelligents dans l’une des catégories. En fait, chacun d’eux a des avantages et des licenciements, en termes de commodité, de valeur de charge et d’équilibre alimentaire. Les croquettes sont plus pratiques et facturent beaucoup moins chères que les aliments pluvieux. De plus, ils rendent imaginable de connaître le manque d’herbes de chat à nourrir comme vous le souhaitez, en petits repas, distribué toute la journée, sans augmenter les troubles de la conservation (contrairement au pâté qui sèche rapidement). Le CIB stimule également la mastication, restreignant ainsi la formation de tartre, contrairement aux brevets et à d’autres terrines, qui n’annoncent pas l’hygiène orale intelligente. Seule les inconvénients: en raison de leur teneur en amidon supérieur, ils sont plus pauvres en protéines et moins digestibles que les aliments pluvieux. Enfin, comme tous les produits secs, les croquettes conviennent moins aux chats ou souffrant d’infections rénales ou de vessie. Les deux familles alimentaires sont donc complémentaires. C’est la raison pour laquelle les spécialistes maximaux ont un aliment combiné, toutes les probabilités complétées par de nouveaux produits: une solution, en plus, suivie de nombreux propriétaires de chats.
« L’alimentation ménagère est sans conteste le top du top, sous réserve qu’elle soit bien préparée, bien suivie et respecte les besoins spécifiques du chat », affirme le Pr Bernard-Marie Paragon, chef de service nutrition animale à l’École nationale vétérinaire d’Alfort. À condition de profiter des promotions de steak haché, blancs de volaille et autres filets de poisson au supermarché, son coût n’est pas forcément plus élevé que celui des produits industriels premium, pour une qualité de matières premières bien supérieure. Mais cette solution exige du temps et n’est pas toujours facile à mettre en œuvre. Bien sûr, les restes de table sont à proscrire, car ils contiennent souvent trop de graisses et des sucres. Le chat doit avoir son menu à lui. C’est au vétérinaire de l’établir. Une ration ménagère se compose de viande ou de poisson, de légumes, de riz ou de pâtes, d’huile auxquels s’ajoutent impérativement des compléments minéraux et vitaminés, afin de couvrir les besoins du chat en nutriments essentiels.
En général, mieux vaut éviter de donner du lait. Après le sevrage, la plupart des chats développent une intolérance au lactose (un sucre du lait) pouvant provoquer des diarrhées durables. Péché mignon de nos félins, les carapaces de crevettes cuites sont aussi à proscrire, car elles contiennent un conservateur, l’acide benzoïque, qui peut causer des intoxications graves. De même que la théobromine, un composant du chocolat. Enfin, attention à la mode des régimes alimentaires à base de nourritures crues. « Leur valeur nutritionnelle est bien supérieure à celle des aliments cuits. Mais les risques d’intoxications alimentaires, salmonellose notamment, sont aussi plus élevés. Cette option doit donc s’accompagner d’une extrême exigence au plan sanitaire », avertit le Pr Paragon.
Anti-tartre, anti-stress, enrichi en nutriments et micronutriments. Son rôle diététique et récréatif se démarque. Il y a même un marchand de jouets pour aider l’animal à faire de l’exercice !Quant aux bâtonnets à mâcher, ils sont destinés à ramener les gencives au tonus que le chat perd à travers les patènes de salle à manger. Même s’ils prétendent avoir un aspect sain, ils sont également traités avec les saveurs auxquelles il est impossible de résister et qui peuvent provoquer un comportement addictif. Souvent distribuées en récompense, les collations ne représentent pas plus de 10% de l’apport calorique global, sous peine de mettre en péril l’équilibre alimentaire de Twink.