Au bas du gouvernement du pays depuis la dissolution de l’Assemblée, Emmanuel Macron est revenu ce mercredi 29 janvier avec des visites à Casillas. De AULnoyo-Symeries, dans le nord, le chef de l’État a annoncé devant les élus locaux et les chefs d’entreprise qui auront une troisième composante du soi-disant pacte « pour la bonne fortune de Sambre-Vesnois-Thiérache (SAT) ». . Le ministre régional de la planification, François, Rebsamen viendra officiellement à la fin avril, a déclaré le président.
Comme les deux actes précédents, signés en 2018 et 2021, ils viendront avec des investissements visant à relancer le territoire, pour lutter contre la pauvreté et créer des emplois, dans une région marquée par des années de déclin économique. Près d’un tiers de la population vivait sous le seuil de pauvreté en 2018, a déclaré le président de la République.
Sans révéler exactement le contenu suivant du troisième composant du pacte, Emmanuel Macron a insisté sur deux questions, « deux sillons pour creuser plus loin » selon lui: l’état physique et la sécurité. Deux espaces où les chiffres sont «non satisfaisants».
Pour le chef de l’État, il devra y avoir un monétaire pour la structure d’un nouvel institut d’enseignement infirmier à Maubeuge, pour construire le nombre de membres du personnel médical et paramédical, ainsi que pour la construction en tant que centres d’action médicale-social, qui, qui soins aux jeunes handicapés.
La santé est un point noir, a souligné Bernard Baudoux au micro d’ici Nord. Le maire d’Aulnoye-Aymeries, également président de la communauté d’agglomération Maubeuge-Val de Sambre, indique que 8.000 habitants de la zone n’ont pas de médecin traitant. « La désertification médicale s’aggrave » selon lui, malgré la création du nouvel hôpital de Maubeuge et d’une maison pluridisciplinaire de santé à Jeumont, regroupant kinés, infirmières et médecins généralistes.
Dans le domaine de la sécurité, si les vols et les crimes contre la vie ont diminué, les homicides et les violences domestiques se multiplient dans la région, souligne le chef de l’Etat. Il promet le statu quo d’une brigade de gendarmerie spécialisée dans la lutte contre les violences au sein de la famille, à Avesnes-sur-Helpe, à partir de 2025, composée de six gendarmes, ainsi que des séjours normaux à Maroilles.
Un premier acte du pacte SAT a initié en 2018, avec 173 millions d’euros mobilisés par l’État, avant un moment de droit en 2021, avec 294 millions d’euros, sans parler de la contribution des autorités locales.
L’enveloppe a une composante remarquablement financée des peintures d’extension de la route nationale 2, le RN2, qui unit Maubeuge avec Paris. « Il sera bien rénové dans une voie de 2×2 tout au long de la conception », a garanti Emmanuel Macron, soulignant que l’expansion du National est un facteur d’ouverture et d’interconnexion de base selon lui pour la progression économique du territoire.
D’autres projets ont pu être menés, tels que la construction du nouvel hôpital de Maubeuge, ouvert en 2021, la finalisation des travaux du canal reliant la Sambre à l’Oise, de nouveau navigable depuis l’été 2021, des locaux neufs pour les policiers du commissariat d’Aulnoye-Aymeries et pour les agents du centre administratif de la même ville. Le Pôle des cultures actuelles de la commune, inauguré en 2023, depuis lequel le chef de l’Etat a fait ses annonces ce jeudi 29 janvier, a également été érigé grâce aux montants investis dans le cadre du Pacte.
Emmanuel Macron a également salué la baisse du taux de chômage dans la région, mais avec 12,5%, « il est encore trop élevé », au-dessus de la moyenne nationale. Le chef de l’État évoque une enveloppe monétaire à long terme vers une friche commerciale blanche et établit de nouvelles usines, mais spécifie son montant.
Sans le budget transmis par l’État, « les trois quarts des projets n’ont peut-être pas émergé », a déclaré le maire de PCF d’Aulnoyo-Aymeries. Invité à travers le nord, Bernard Boudoux pensait que la mise en œuvre du pacte SAT rendait imaginable de retourner le territoire « dans une stratégie de progression, et dans l’espoir », tout en « une dynamique d’appauvrissement » la sambre, la matrice des oiseaux, les oiseaux et le La région de Thiérache (dans la décomponation voisine d’Aisne) a perdu 26 000 emplois au cours des dernières décennies. ElySée dit que depuis 2018 et la signature de la première composante de l’alliance depuis 2018, le nombre d’emplois commerciaux commence dans la région.
Avant ses publicités, et pour souligner ce que Elysée décrit exactement comme le « renouvellement industriel du territoire », le chef de l’État a visité l’usine de Maubeuge Framatome, spécialisée dans la réunion des moteurs qui équivalaient aux réacteurs nucléaires. sur le site. L’usine a doublé son depuis 2022 et louera 150 à deux cents et plus jusqu’en 2028.
A l’occasion de la venue du président, la direction de l’entreprise a annoncé un investissement de 100 millions d’euros à Jeumont et Maubeuge, pour réduire les délais de production des composants pour réacteurs nucléaires. Le site de Maubeuge va quasiment quadrupler de taille.
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