L’œuf gascon, c’est un million de poules et 60 ans d’histoire en Lot-et-Garonne

A l’occasion des préparatifs des festivités du 60e anniversaire de l’entreprise du cercle familial le 1er juin, Denis Varescon extrait pour la première fois un symbole de l’album. Le, datant de 1961, de l’arrivée de ses parents, Henri et Anne. Marie, de son Doubs local avec sa demi-douzaine de vaches Montbéliard. Au final, le bétail ne s’adaptera pas au climat du Lot-et-Garonne. Le Varescon, construira dans le domaine de Tauzia, Villefranche-du-Queyran, un pesoArray.

A l’occasion des préparatifs des festivités du 60e anniversaire de l’entreprise du cercle familial le 1er juin, Denis Varescon extrait pour la première fois un symbole de l’album. Le, datant de 1961, de l’arrivée de ses parents, Henri et Anne. Marie, de son Doubs local avec sa demi-douzaine de vaches Montbéliard. Au final, le bétail ne s’adaptera pas au climat du Lot-et-Garonne. Le Varescon, construira dans le domaine de Tauzia, Villefranche-du-Queyran, un poids lourd de l’œuf et des ovoproduits. Mais passer de l’oiseau à l’œuf gascon, qui représente aujourd’hui 23% de l’apport en Nouvelle-Aquitaine, aura nécessité des décennies de travail.

« Je suis né en 1963 et je suis le plus jeune de 4 garçons. Mon père nous a laissé prendre l’initiative à la ferme. Et j’ai cherché à m’établir. Quand j’avais 13 ans, je plantais du maïs. Vers l’âge de 10 ans, nous avons vérifié la ferme pendant une semaine avec mon frère », se souvient Denis Varescon, actuel PDG de l’entreprise.

A l’âge de 18 ans, après deux mois d’études approfondies au Canada, il revient au bercail du Lot-et-Garonne et introduit son activité sur 23 hectares sur les quarante-cinq du domaine où, depuis 1963 et son premier poulailler de 1 000 sujets, Henri Varescon creuse son sillon. « Leurs œufs étaient vendus à de nouveaux fabricants de pâtes comme Lustucru. En 1965, avec le Plan De Gaulle, il construit momentanément un poulailler de 2000 poules et, 3 ans plus tard, à l’origine d’une organisation de producteurs d’œufs dans le département. Le retour de son fils marque également un départ : Henri Varescon, entré à l’Oeufs du Sud-Ouest en 1973, quitte la coopérative.

« Je cherchais à vendre nos produits. Notre marque, L’Oeuf Gascon, était née » À cette époque, 27 000 poules caquetaient et pondaient principalement à côté de Tauzin. « C’est au marché des Capucins de Bordeaux que tout a commencé. Les premiers grossistes ont été livrés, à cette époque la distribution massive ne nous a pas trop calculés, cependant pour une accumulation de circonstances nous avons pu entrer malgré tout. Intermarché de Tonneins.  »

Les affaires ont prospéré pour les Varescons et Denis, qui, en signant une licence de rugby à Queyran, ont approfondi leur sagesse sur les indigènes. « Enfants, nous étions plus concentrés sur Puch-d’Agenais, alors que notre ferme est située à Villefranche, où, paradoxalement, je ne connaissais personne. »D’un ovale à l’autre, c’est dans les mêlées et dans la 3ème partie que le jeune Varescon récupère le plancher perdu dans la vie locale. À tel point qu’il s’est retrouvé enrôlé dans une campagne municipale. le nombre maximal de votes. Mais les autres avaient tout arrangé, ils avaient réparti les postes de députés. Je n’étais pas d’accord. Compte tenu de mon score, j’ai demandé à être assistant.

Fermé cette brève parenthèse de politique locale, Denis Varescon revient à sa coquille et à son liquide jaune et blanc et prépare l’entreprise à une nouvelle dimension. « Notre ligne a été d’étendre les opérations tout en maintenant la qualité de nos produits grâce à des engagements durables. Depuis 2006, nous avons commencé à robotiser l’emballage pour mettre nos boîtes de douze dans des boîtes. Nous étions les précurseurs. Mais l’absence de domaine à Tauzia a rendu momentanément impérative la construction du site de Damazan en 2010. Nous avons été parmi les premiers à venir dans ce domaine où nous avons adapté l’outil à la robotique », se souvient l’entrepreneur, intégré par ses enfants Louise et Arthur dans la gestion d’entreprise. De quoi se consacrer au long terme avec sérénité.

« Aujourd’hui, nous sommes tous des maillons de la chaîne. De la production de céréales à la fabrication d’aliments pour nos poules, en passant par le conditionnement et la distribution. Nous nous reproduisons dans le sol, en plein air. Et en combinaison avec nos conjoints agriculteurs, nous produisons trois cents millions d’œufs par an avec un million de poules. Nous allons construire une nouvelle casserie à Damazan pour être encore plus grand dans nos produits à base d’œufs. Nous distribuons des œufs standards, moulus, élevés en plein air et biologiques en Nouvelle-Aquitaine sous notre logo régional L’Œuf Gascon au nom des étiquettes personnelles, ou sous l’emblème de L’Œuf de nos villages, notre organisation nationale avec laquelle nous dédions notre appel dans les boîtes », explique Denis Varescon.

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